Alexandra St-Michel
Alexandra est détentrice d’un baccalauréat en communications de l’Université de Montréal et complète actuellement sa maîtrise en développement du tourisme. Son projet porte sur la cohabitation socio territoriale entre résidents et touristes dans les ruelles vertes de Montréal.
Elle possède plus de 14 ans d’expérience à titre de productrice et de chargée de projets dans le domaine du marketing, des effets spéciaux, de l’événementiel et de la publicité. Ses expériences font d’elle une ressource importante en ce qui a trait à la gestion et à l’optimisation des processus internes.
Alexandra a rejoint l’équipe de la Chaire en avril 2018 et concentre ses énergies aux opérations de la Chaire et collabore aux mandats et à la veille. Elle s’intéresse particulièrement aux domaines de la gastronomie, du tourisme urbain, de la transition écologique, de l’architecture et du design ainsi que de l’aménagement de territoire.
12 Analyses
Les technologies à la rescousse des sports de glisse
Devant les défis d’enneigement de certaines régions, des gestionnaires touristiques se tournent vers de jeunes pousses et de nouvelles approches afin de sauver les sports hivernaux.
La mobilité comme service, les bénéfices pour l’industrie touristique
Le MaaS propose de simplifier la gestion des transports en uniformisant les modes de paiement et en facilitant les déplacements dans les villes. Un atout pour les tour[...]
La progression du mycotourisme au Québec
La structuration de l’offre liée au mycotourisme progresse au Québec et de nouveaux produits voient le jour pour le plus grand plaisir des adeptes.
Des espaces hybrides aux espaces fluides
Complémentaires aux espaces hybrides, les lieux fluides émergent pour déjouer l’inflation et favoriser le dynamisme des villes.
L’accès à la baignade en milieu urbain
Les villes redoublent de créativité pour proposer des points d’eau urbains accessibles à la baignade pour les populations résidentes et les touristes.
Responsabiliser les visiteurs : un petit fruit à la fois
L’autocueillette compte de plus en plus d’adeptes. Comment s’assurer que les visiteurs respectent les écosystèmes et le travail des agriculteurs ?
